Cette célébration intervient 70 jours après celle de la fête du Ramadan. Elle est une occasion pour rappeler aux fidèles que la fête du sacrifice du mouton est pour le musulman, le moment de cultiver davantage l’amour, le partage, la solidarité et la soumission, pour espérer le salut d’Allah. A Bobo-Dioulasso, l’évènement a donné lieu à la traditionnelle prière collective qui a drainé des milliers de fidèles sur la place Wara-wara. C’est l’imam de la grande mosquée de Dioulassoba, Siaka Sanou, qui a dirigé cette prière. Les fidèles musulmans ont prié pour la paix, la santé et la sécurité au Burkina Faso Au cours de cette célébration, l’imam Siaka Sanou a appelé à la paix et à la cohésion sociale, mais a surtout rappelé l’importance du sacrifice du prophète Abraham. Il a aussi convié toute la communauté musulmane à des prières pour le maintien de la paix et de la stabilité au Burkina Faso. A en croire le vice-président de la Chambre de commerce de Bobo, Al Hassane Siénou, l’imam Siaka Sanou, dans son sermon a prié pour la paix, la sécurité et une bonne pluviométrie au Burkina Faso. Il a également prié pour les autorités du pays, pour la prospérité économique et le développement social », a-t-il indiqué. Le vice-président de la Chambre de commerce de Bobo, Al Hassane Siénou Après les traditionnelles deux Rakates dirigées par l’imam Siaka Sanou, ainsi que la lecture du sermon, ce dernier a procédé à l’acte du sacrifice du mouton sur place. Ainsi, pour les musulmans, l’Aïd-el-Kébir commémore la soumission à Dieu du Prophète Abraham qui était prêt à sacrifier son fils aîné Ismaël sur son ordre. Chaque musulman ayant les moyens doit ainsi immoler une bête, notamment un bélier pendant cette fête, pour perpétuer cet acte d’Abraham. Selon eux, la Tabaski est surtout un moment de partage, de retrouvailles et de pardon, trois vertus que la communauté musulmane entend continuer à cultiver. Mgr Paul Ouédraogo témoigne sa fraternité à l’imam Siaka Sanou Des autorités de la région témoignent de leur solidarité aux frères musulmans Ont pris également part à cette prière, la ministre en charge de l’Economie numérique, Hadja Fatimata Sanon, des autorités politiques, administratives de la région des Hauts-Bassins dont le gouverneur Antoine Atiou. La communauté catholique, représentée par l’archevêque de Bobo-Dioulasso, Mgr Paul Ouédraogo, a tenu également à afficher son soutien et sa solidarité aux frères musulmans. Ma présence ici ce matin est à la fois un geste de solidarité et de fraternité envers nos frères musulmans qui célèbrent aujourd’hui la Tabaski. Nous sommes venus les soutenir dans cette prière pour un Burkina Faso de paix. Et nous demandons à Dieu d’exaucer toutes nos prières, afin que notre pays connaisse plus de paix et de cohésion sociale », a laissé entendre Mgr Paul Ouédraogo. L’archevêque de Bobo-Dioulasso, Mgr Paul Ouédraogo Pour la ministre Hadja Fatimata Sanon, la fête de la Tabaski est un grand jour pour le musulman. Avant de souhaiter une bonne fête à tous les Burkinabè, elle a émis le vœu que ce sacrifice d’Abraham puisse inspirer tous les fidèles à plus de don de soi, pour faciliter la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Dieu nous a fait grâce de vivre, cette année encore, la fête de la Tabaski qui commémore le sacrifice d’Abraham qui, pour nous, est un don de soi. Ce sacrifice doit être une inspiration pour le musulman, afin de faire du Burkina Faso, un havre de paix », a-t-elle dit. La ministre Hadja Fatimata Sanon Le gouverneur de la région, Antoine Atiou, pour sa part, n’a pas manqué également de souhaiter la bonne fête à la communauté musulmane. Il dit être venu demander aux musulmans de prier pour la paix, la sécurité et la santé au Burkina Faso. Ces prières vont nous permettre de sortir des difficultés que nous traversons dans notre pays », foi du gouverneur Antoine Atiou. Le gouverneur de la région des Hauts-Bassins, Antoine Atiou Il a par ailleurs invité les Burkinabè à cultiver l’amour, la solidarité, le pardon et la cohésion sociale. Des valeurs cardinales qui, selon lui, pourront aider au développement du Burkina Faso. Sur l’ensemble du territoire national, cette fête a donné lieu au même rituel notamment le sacrifice du mouton dans les familles et l’organisation des réjouissances populaires. L’imam Siaka Sanou va procéder à l’acte du sacrifice du mouton sur place Romuald Dofini
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\nil appelle les fidèles musulmans à la prière
Ilest vendredi midi et nous sommes dans la rue Safrany à Budapest. Une mosquée à l’apparence discrète accueille les fidèles qui y affluent pour la prière la plus importante de la semaine, la Jumu’a. Cependant, l’appel habituel à la prière ne résonne pas dans le voisinage. Située dans un immeuble récent rappelant le siège d
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KayaTabaski:L’Imam Samad Ouédraogo appelle les fidèles à la sobriété. Kaya, (AIB) – Le grand Imam de Kaya, El Adj Abdoul Samad Ouédraogo a présidé ce samedi 9 juillet 2022 la prière du Aid El Kébir à la place de la Nation de Kaya sous la présence effective de nombreux fidèles musulmans et des autorités locale venues soutenir la communauté.
Les musulmans ont le devoir de prier au moins cinq fois par jour. Ces prières sont à effectuer à la tombée de la nuit, à l’aube, à la mi-journée, pendant l’après-midi et au coucher du soleil. Si le calendrier religieux des musulmans est lunaire, leur cycle de prières est en revanche solaire. Ils ont donc une façon spéciale de calculer leurs horaires de prières, en se basant sur la position du soleil pendant la journée. Puisque les horaires varient en fonction de la position du soleil et changent avec les saisons, comment faire pour les définir ? Sommaire1 Les types de prières à des heures La Le L’Asr 2 Le crépuscule pour les prières Les types de prières à des heures précises Les 5 prières de l’Islam ont chacune leur propre nom. Elles sont définies à un moment précis de la journée. Les horaires de ces prières divergent toutefois selon les écoles juridiques ou mazhabs. Les méthodes de calcul sont également différentes et ne permettent pas d’avoir une homogénéité dans les horaires, que ce soit en France ou au Maroc. Les mosquées adaptent leurs horaires pour rassurer les fidèles. Pour connaître les heures de prière dans votre ville, vous pouvez vous rendre sur qui vous donnera plus de détails. La Fajr Il s’agit de la prière du matin. La Fajr s’effectue à l’aube et ne prend fin qu’à l’apparition d’une partie du soleil. C’est ce qu’on appelle le Chourouq, qui constitue la limite pour laquelle les musulmans doivent avoir effectué leur prière. L’aube peut se définir sous 2 aspects différents. Il peut s’agir de l’aube trompeuse, celle présentant brièvement des lueurs verticales sur une partie de l’horizon, et qui disparaissent. L’autre forme est l’aube véridique qui apparaît sous forme de lueur blanche couvrant l’horizon du Nord au Sud. Celle-ci ne disparaît qu’au lever du soleil. Le Dohr Deuxième prière du jour, le Dhuhr ou Dohr est réalisé en début d’après-midi. Cette prière a lieu lorsque le soleil se dirige vers son coucher et lorsqu’il a dépassé son zénith. La deuxième prière prend fin lorsque l’ombre d’un objet a la même taille que l’objet réel. L’Asr Il s’agit de la troisième prière à effectuer par les musulmans. Elle doit se faire entre la deuxième prière et le coucher du soleil, lorsque l’ombre d’un objet atteint 2 fois sa taille réelle. Le Maghrib C’est au moment du coucher du soleil et à la disparition totale de l’horizon que commence la quatrième prière. Le Maghrib ne prend fin que lorsque la lueur rouge disparaît totalement. L’Ichâ La cinquième et dernière prière est appelée l’Ichâ, elle doit être effectuée entre la tombée de la nuit et l’aube. Souhaitez-vous en savoir plus la religion islamique ? Visitez ce site qui vous propose une large sélection de livres sur l’islam. Le crépuscule pour les prières Grâce à l’atmosphère terrestre, une lueur diffuse la lumière du soleil avant le lever de celui-ci et après qu’il se couche. Cette lueur est autrement appelée l’aube pour le matin avant le lever du soleil, et crépuscule le soir après le coucher du soleil. En astronomie, le crépuscule se présente sous 3 formes différentes, notamment le crépuscule civil, nautique et astronomique. Ces derniers se définissent par l’angle obtenu par rapport au soleil et l’horizon. Pour le calcul de l’horaire, c’est l’angle de 15 ° qui correspond à l’observation pour les pays situés en zone normale ». En France, pour le crépuscule civil, le soleil se positionne à moins de 12 degrés de l’horizon. Lorsque le soleil se situe à un angle de 12 à 15 degrés de l’horizon, c’est là qu’on l’appelle un crépuscule nautique. Le crépuscule astronomique n’est ainsi nommé que lorsque le soleil s’aperçoit entre 15 et 18 ° de l’horizon. C’est dans ce dernier cas, lorsque la lueur a totalement disparu que le maghrib prend fin.
Leshoraires de prière fluctuent selon les jours, mais ils sont diffusés sur réseaux sociaux. Le muezzin est le fonctionnaire bénévole musulman attaché à une mosquée, ayant pour principale fonction l’appel des fidèles à la prière, cinq fois par jour. Dans les pays musulmans il effectue cet appel depuis le haut du minaret. A Creil
La Plateforme Musulmans prend acte de la décision du gouvernement d’autoriser la “REPRISE DES CÉRÉMONIES RELIGIEUSES” dans les lieux de culte à travers le communiqué du ministère de l’intérieur en date du vendredi 22 mai 2020. Cette décision, qui intervient à seulement 24h de la fête de Aïd el Fitr, permet opportunément de s’en remettre aux responsables religieux et aux associations musulmanes quant à leur choix de rouvrir à cette occasion, faisant ainsi peser sur leurs épaules l’énorme responsabilité liée au risque d’une deuxième vague de propagation du virus. L’organisation des prières de l’Aïd, qui représente déjà en temps normal un énorme défi organisationnel et humain, devient, dans ce contexte inédit, un enjeu surréaliste. Le risque sanitaire est toujours bien réel et nous appelle collectivement à la plus grande retenue et à la responsabilité. Or, à ce jour, il apparaît que les conditions sanitaires ne soient pas encore entièrement réunies pour organiser la prière de Aïd el Fitr dans des conditions satisfaisantes. Ainsi, la Plateforme Musulmans appelle les mosquées de France à faire preuve de prudence en renonçant à organiser la célébration de la prière de Aïd el Fitr en commun. Si des associations font tout de même le choix d’organiser la prière de Aïd el Fitr, nous leur recommandons de respecter scrupuleusement les mesures sanitaires, à savoir, entre autres, un nombre limité de personnes, une distanciation d’un mètre entre les fidèles, et le port du masque de manière obligatoire. Dans ce contexte, la Plateforme Musulmans continue d’assister les associations, et en particulier les mosquées, face au défi du Covid-19 afin que cette sortie de crise ne soit pas synonyme de deuxième vague. À cet effet, nous publierons prochainement un ensemble de recommandations à travers un “Guide de réouverture des Mosquées de France”. En complément, et ce dès aujourd’hui, nous ouvrons une ligne d’assistance dédiée aux responsables associatifs mail et téléphone. Chaque mosquée pourra ainsi rouvrir ses portes, à son rythme, afin d’accueillir de nouveau les fidèles dans les meilleures conditions. Dans ces moments de joie fraternelle et familiale que représente la fête de Aïd el Fitr, nous apportons une fois de plus notre soutien plein et entier à l’ensemble des musulmans de France en leur souhaitant un Aïd Moubârak, et en espérant que les efforts consentis durant cette période nous permettent de préparer plus sereinement la fête de Aïd el Adhâ cet été.
Avantle modernisme, les cloches servaient bien sur à appeler les fidèles pour la messe, mais surtout à donner l'heure, angélus à 7 h le matin pour aller au travail, midi pour manger et le
Hélène Kohl et Mélina Facchin, édité par Antoine Terrel 07h41, le 15 octobre 2021, modifié à 07h46, le 15 octobre 2021 REPORTAGELe projet, mené à titre expérimental, devrait durer deux ans. En Allemagne, la ville de Cologne a décidé d'autoriser l’appel à la prière des musulmans tous les vendredis depuis les différentes mosquées de la ville. Une initiative strictement encadrée et menée en concertation étroite avec les quartiers concernés, et qui semble pour l'instant plutôt bien acceptée par les les muezzins pourront appeler leurs fidèles pendant cinq minutes, entre midi et 15 heures le vendredi. Le voisinage devra en être informé en amont par courrier ou avec un affichage. Chaque mosquée devra aussi désigner un interlocuteur qui devra faire le lien avec les habitants du quartier et régler les litiges éventuels liés au volume sonore, au rayon d'écoute de ses appels à la prière ou tout autre villes autorisent déjà l'appel à la prièreDes ajustements sont donc à prévoir au cours des deux prochaines années, comme cela a été le cas dans la trentaine de communes allemandes qui autorisent déjà les appels à la prière Dortmund, Brême ou encore Dürren, qui a commencé dans les années 80, et où la mosquée diffuse ses messages trois fois par Tribunal constitutionnel allemand a déjà statué sur la question et il a autorisé de façon générale les appels à la prière sur l'ensemble du territoire. Là où l'expérience de Cologne est spécifique, c'est que les autorités de la ville ont réussi à imposer la nomination d'un interlocuteur dans les mosquées. C'est une petite brèche dans le système très opaque mis en place par la Turquie et qui contrôle l'essentiel de l'islam en Allemagne."Entendre les cloches sonner, c'est la même chose"Dans les faits, le chant du muezzin ne résonnera pas tout de suite dans la ville de Cologne. Chaque mosquée va d'abord devoir demander une autorisation à la mairie et pour l'instant, seules trois sur 35 se sont manifestées. Mais dans le quartier de la Grande mosquée, le projet ne pose globalement pas de problème aux habitants, pourtant plutôt habitués aux cloches de l'église. "Je suis pour la liberté des religions... Entendre les cloches sonner. Pour moi, c'est la même chose que d'entendre le muezzin chanter", assure une habitante. A certaines conditions quand même... "J'aimerais bien que ce ne soit pas trop fort et en allemand", dit un autre. Pour Moustapha, imam de la Grande mosquée, il n'y a pas de quoi créer une polémique. "Les gens ici sont très ouverts. Porter notre voix à l'extérieur, on accueille ça avec beaucoup de joie", confie-t-il.
Lesfidèles musulmans et musulmanes ont rempli la grande mosquée de la ville de N’Djamena. Les fidèles, habillés chacun avec son boubou neuf, attendent l’arrivée du Président de la transition, Mahamat Idriss Deby et l’Imâm. En attendant, ils récitent Altakbir “Allâhu Akbar, Allâhu Akbar, Allâhu Akbar wa li-Llâhi-l-hamd”, cela veut dire “Dieu est le plus
"Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage."Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret."Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud 'Patience' face aux provocations -"Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer ... à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l'imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?"09/01/2015 182459 - Châteauroux AFP - Par Denis ROUSSEAU avec les bureaux de l'AFP - © 2015 AFP
Μаդакефеч οփርжθւахեт Жοщխйևνиβև лեклοσюդυ Al’instar des autres musulmans du monde, les fidèles du Burkina Faso ont fêté l’Aïd-el-Kebir ce samedi 9 juillet 2022. A cette occasion, des milliers de fidèles musulmans se sont rassemblés à la Place de la nation à Ouagadougou, pour prier pour la paix et le vivre-ensemble. Débutée à 9h, la grande prière de la Tabaski a connu
"Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage."Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret."Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud 'Patience' face aux provocations -"Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer … à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l’imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?"
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il appelle les fidèles musulmans à la prière