Ilconvient ici de rappeler que le cadre lĂ©gislatif en vigueur (article L. 421-4 du Code de l'Ă©ducation) permet Ă©galement Ă la collectivitĂ© territoriale de rattachement, si elle le souhaite, d'ĂȘtre cosignataire du contrat d'objectifs conclu entre les services acadĂ©miques et les Ă©tablissements publics locaux d'enseignement.
Et si vous nâĂ©tiez plus dans les temps ! » La loi du 17 juin 2008 portant rĂ©forme en matiĂšre de prescription civile a eu trois objectifs fondamentaux rĂ©duire le temps et modifier la durĂ©e de la prescription jugĂ©e le plus souvent excessive ; donner de la cohĂ©rence en uniformisant les dĂ©lais en 2004, la Cour de cassation avait dĂ©nombrĂ© 250 dĂ©lais, diffĂ©rents par leur durĂ©e, leurs modes de computation !, intĂ©grer les enjeux europĂ©ens. On pourrait Ă©galement estimer que câest aussi une loi de cohĂ©sion sociale. Imaginez-vous 25 ans aprĂšs avoir Ă©tĂ© condamnĂ© au paiement dâune crĂ©ance, un huissier de justice vous signifie le jugement que vous avez dĂ©jĂ oubliĂ©. Une telle situation peut ĂȘtre perturbatrice et provocatrice. Le raccourcissement de trente Ă dix ans parait un compromis de sauvegarde des droits des uns et des autres. Il revient maintenant Ă chaque citoyen de connaĂźtre cette loi car nul nâest censĂ© ignorer la loi. Marcel Proust Ă©crivait Chroniques, Vacances de PĂąques, parues au Figaro du 25 mars 1913 Les jours sont peut-ĂȘtre Ă©gaux pour une horloge, mas pas pour un homme ». Paraphrasant Natalie FRICERO, on pourrait ajouter, surtout si cet homme est un juriste qui sâintĂ©resse Ă la prescription ! extinctive notamment. La prescription extinctive, diffĂ©rente de lâusucapion ou prescription acquisitive, est conçue par lâarticle 2219 du Code civil comme un moyen de se libĂ©rer par un certain laps de temps ». Ce certain laps de temps » mĂ©rite dâĂȘtre bien connu par le citoyen pour se prĂ©munir dâune inaction qui lui serait dommageable. Cet article doctrinaire et non codifiĂ© traite exclusivement de la prescription extinctive des dĂ©cisions de justice, qui ne mĂ©rite pas dâĂȘtre confondue avec la prescription extinctive de lâaction prĂ©vue Ă lâarticle 2224 du Code civil qui est quinquennale et qui touche toutes les actions mobiliĂšres et personnelles, des articles 1641 et suivants du mĂȘme code relatifs aux vices cachĂ©s qui sont biennaux Ă compter de la dĂ©couverte du vice. LâintĂ©rĂȘt de cet article est dâapporter une rĂ©ponse rassurante aux nombreux justiciables qui sâinterrogent sur la durĂ©e de validitĂ© des jugements et plus prĂ©cisĂ©ment sur le dĂ©lai de prescription de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice, notamment en matiĂšre de recouvrement de crĂ©ances. Pour rappel, avant lâintervention de la loi du 17 juin 2008, la durĂ©e de la prescription applicable Ă lâaction en exĂ©cution dâun jugement Ă©tait de trente ans I. Cette durĂ©e Ă©tait jugĂ©e excessivement longue au regard de lâaccĂ©lĂ©ration de lâhistoire. Câest Ă la faveur de la loi n°2008-561 du 17 juin 2008 portant rĂ©forme de la prescription en matiĂšre civile que le dĂ©bat sur le raccourcissement des dĂ©lais dâexĂ©cution des jugements a connu un regain dâintĂ©rĂȘt tant pour les pouvoirs publics que pour les justiciables. Cette loi ramĂšne de trente Ă dix ans que penser dâun gain de 20 ans dans la vie dâun homme ?, le dĂ©lai maximal de prescription de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice. Depuis cette fameuse loi du 17 juin, la durĂ©e de droit commun de la prescription applicable Ă lâaction en exĂ©cution des jugements est de dix ans II. I. La prescription extinctive de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice avant la loi de 2008 Jusquâen 2008, lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice sâĂ©teignait par le non-usage trentenaire A, Ă lâexception des ordonnances portant injonction de payer et des jugements de lâarticle 478 du Code de procĂ©dure civile B. A. La prescription extinctive trentenaire de droit commun de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice Avant lâentrĂ©e en vigueur de la loi du 17 juin 2008, portant rĂ©forme de la prescription en matiĂšre civile, la poursuite de lâexĂ©cution dâune dĂ©cision de justice Ă©tait soumise Ă la prescription de droit commun de trente ans et non pas Ă la prescription dĂ©cennale de lâarticle L. 110-4 du Code de commerce dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă la loi du 17 juin 2008. Cette prescription extinctive trentenaire de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice prĂ©vue par lâancien article 2262 du Code civil, Ă©tait en cours jusquâau 19 juin 2008, date dâentrĂ©e en vigueur de la loi du17 juin 2008. Ce dĂ©lai trentenaire abrogĂ© coexistait avec le dĂ©lai semestriel qui continue dâopĂ©rer. B. La prescription extinctive semestrielle de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice Lâarticle 1411 du nouveau Code de procĂ©dure civile NCPC impose que lâordonnance portant injonction de payer OPIJ soit signifiĂ©e aux dĂ©biteurs dans les six mois suivant sa dĂ©livrance Ă peine de caducitĂ©. Ces prĂ©-dĂ©cisions de justice ont donc une durĂ©e de validitĂ© semestrielle. En effet, les OPIJ restent des jugements provisoires tant que le juge nây a pas apposĂ© la formule exĂ©cutoire, qui leur confĂšre la nature de dĂ©cision de justice exĂ©cutoire. Ces titres exĂ©cutoires se prescrivent par dix ans. Nous y reviendrons en aval. Câest pour dire quâavant la promulgation de la loi de 2008 susvisĂ©e, le lĂ©gislateur avait prĂ©vu Ă©galement une forme de caducitĂ© de certains jugements, auxquels on peut appliquer la notion de prescription extinctive semestrielle de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice. En effet, lâarticle 478 du Code de procĂ©dure civile dispose que le jugement rendu par dĂ©faut ou le jugement rĂ©putĂ© contradictoire au seul motif quâil est susceptible dâappel est non avenu sâil nâa pas Ă©tĂ© notifiĂ© dans les six mois de sa date. La procĂ©dure peut ĂȘtre reprise aprĂšs rĂ©itĂ©ration de la citation primitive ». Pour ĂȘtre clair et compris, le jugement rendu par dĂ©faut peut sâassimiler au jugement rendu par contumace. Toutefois, un jugement est rendu par dĂ©faut pour quatre raisons 1 lorsque le dĂ©fendeur nâa pas comparu, 2 quâil nâa reçu aucune assignation, 3 que le demandeur par exploit dâhuissier de justice ne lâa point rĂ©assignĂ© 4 enfin lorsque lâaffaire est insusceptible dâappel. Le jugement est rĂ©putĂ© contradictoire, en dĂ©pit de lâabsence du demandeur, au seul motif quâil est susceptible dâappel ; mais aussi parce que la citation ou lâassignation a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©e Ă personne. Il convient de souligner quâun jugement rĂ©putĂ© contradictoire au seul motif quâil est susceptible dâappel nâest pas dĂ©clarĂ© non-avenu caduque, bien quâil nâait pas Ă©tĂ© signifiĂ© dans les six mois suivant sa date, si la cour ignore si la citation a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©e Ă personne. Il sâentend par lĂ que la caducitĂ© nâest pas dâordre public. Une cour dâappel de renvoie nâa pas Ă rechercher dâoffice si lâarrĂȘt de cassation a Ă©tĂ© signifiĂ© au dĂ©faillant dans le dĂ©lai de six mois Cass. 2Ăše civ., 13 janv. 1988. Il est Ă©galement Ă prĂ©ciser que la signification du jugement impliquant une volontĂ© non Ă©quivoque de reconnaĂźtre lâexistence de la dĂ©cision signifiĂ©e, le pourvoi de la partie dĂ©faillante emporte renonciation Ă se prĂ©valoir des dispositions de lâarticle 478 ci-dessus nommĂ©, alors mĂȘme que la signification aurait Ă©tĂ© effectuĂ©e au-delĂ des six mois du jugement Cass. 2Ăš ci., 26 juin 2008. Cette prescription semestrielle connaĂźt nĂ©anmoins des exceptions. En effet, le moyen tirĂ© de la caducitĂ© dâun jugement rĂ©putĂ© contradictoire, au seul motif quâil est susceptible dâappel, pour dĂ©faut de signification dans les six mois de sa date constitue une exception de procĂ©dure et non une fin de non-recevoir. DâoĂč le juge ne peut le soulever dâoffice. Lâanalyse conduite dans ce paragraphe montre dâune part que le dĂ©lai de droit de prescription extinctive des dĂ©cisions de justice est de trente ans. Certains jugements jouissent nĂ©anmoins de dĂ©lais plus courts. LâexcessivitĂ© du dĂ©lai de droit commun a toutefois conduit les pouvoirs publics Ă lĂ©gifĂ©rer et Ă fixer un dĂ©lai plus raisonnable dâextinction de lâaction en exĂ©cution des jugements. Le nouveau dĂ©lai de droit commun est de dix ans. II. La prescription extinctive dĂ©cennale de lâexĂ©cution des dĂ©cisions de justice depuis la loi de 2008 Aux termes de lâarticle 3-1 de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 portant rĂ©forme des procĂ©dures civiles dâexĂ©cution tel quâajoutĂ© par lâarticle 23 de la loi du 17 juin 2008, lâexĂ©cution des titres exĂ©cutoires mentionnĂ©s aux articles 1° Ă 3° de lâarticle 3 ne peut ĂȘtre poursuivie que pendant dix ans, sauf si les actions en recouvrement des crĂ©ances qui y sont constatĂ©es se prescrivent par un dĂ©lai plus long ». Cette prescription extinctive dĂ©cennale des dĂ©cisions de justice est reprise mots pour mots par le code de procĂ©dure civile dâexĂ©cution CPCE. En effet, lâarticle L 111-4 al 1 de ce code dispose que lâexĂ©cution des titres exĂ©cutoires mentionnĂ©s aux 1° Ă 3° de lâart L 111-3 ne peut ĂȘtre poursuivie que pendant dix ans, sauf si les actions en recouvrement des crĂ©ances qui y sont constatĂ©es se prescrivent par un dĂ©lai plus long... ». Les titres exĂ©cutoires exĂ©cutables » dans les dix ans de leur date sont, exceptĂ©s ceux qui se prescrivent par un dĂ©lai plus long les dĂ©cisions des juridictions de lâordre judiciaire ou administratif ; les transactions soumises au PrĂ©sident du TGI ; les actes et jugements Ă©trangers et les sentences arbitrales dĂ©clarĂ©s exĂ©cutoires sur le sol français ; les extraits de procĂšs verbaux de conciliation signĂ©s par le juge et les parties. Sâagissant dâune dĂ©cision dâune juridiction de lâordre judiciaire, en application des dispositions transitoires Ă©noncĂ©es au II de lâarticle 26 de la loi du 17 juin 2008, les dispositions de la loi qui rĂ©duisent la durĂ©e de la prescription sâappliquent aux prescriptions Ă compter du jour de lâentrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi. DĂšs lors, lorsquâune action a Ă©tĂ© introduite avant lâentrĂ©e en vigueur de la loi du 17 juin, lâaction est poursuivie et jugĂ©e conformĂ©ment Ă la loi ancienne. La prescription dĂ©cennale plus courte instaurĂ©e par la loi du 17 juin 2008 ne sâapplique Ă lâexĂ©cution dâune dĂ©cision de justice antĂ©rieure quâĂ compter du 19 juin 2008, jour de lâentrĂ©e en vigueur de la loi, sans que la durĂ©e totale puisse excĂ©der la durĂ©e prĂ©vue par la loi antĂ©rieure. Si depuis lâentrĂ©e en vigueur de la loi du 17 juin 2008, le crĂ©ancier peut poursuivre pendant dix ans lâexĂ©cution du jugement portant condamnation au paiement dâune somme payable Ă termes pĂ©riodiques, il ne peut toutefois, en vertu de lâarticle 2224 du code civil, applicable en raison de la nature de la crĂ©ance, obtenir le recouvrement des arriĂ©rĂ©s Ă©chus plus de cinq ans avant la date de sa demande et non encore exigible Ă la date Ă laquelle le jugement avait Ă©tĂ© obtenu. Câest le sens de lâarrĂȘt de la Cour de cassation Cass. 1er civ., 8 juin 2016.
ModifiĂ©par Ordonnance n°2020-1144 du 16 septembre 2020 - art. 1. Toute personne ayant connaissance de faits rĂ©vĂ©lant l'une des situations mentionnĂ©es Ă l'article L. 511-2 signale ces faits Ă l'autoritĂ© compĂ©tente, qui met en Ćuvre, le cas Ă©chĂ©ant, les pouvoirs dĂ©finis par le prĂ©sent chapitre.
bloquĂ© RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Les Cartophiles du pays nantais. Au dĂ©but du XXe siĂšcle, les entreprises de Nantes ont implantĂ© dans leur environnement des citĂ©s de bois, qui ont abritĂ© des milliers de travailleurs dans un esprit de solidaritĂ© ouvriĂšre. Vers 1920, la citĂ© ouvriĂšre sâĂ©tendait au pied de lâusine des Batignolles dont on voit, en arriĂšre-plan, la cathĂ©drale ». Ainsi surnommĂ© par les ouvriers, le bĂątiment G Ă©tait long de 128 mĂštres au sol et haut de 20 mĂštres. COLLECTION CARTOPHILES DU PAYS NANTAIS En 1920, la SociĂ©tĂ© de construction des Batignolles sâimplante Ă Nantes, Ă la sortie de la ville, sur la route de Paris. Lâentreprise recrute, alors plusieurs centaines dâouvriers pour produire les locomotives Pacific. Lâune des premiĂšres questions qui se pose est le logement de ces ouvriers. OĂč vont habiter toutes ces familles ? La guerre nâa pas permis de construire suffisamment de logements. Certains quartiers nantais, comme le Marchix, sont insalubres. 459 maisonnettes identiques La solution viendra dâAngers. La sociĂ©tĂ© Bessonneau y construit des bĂątiments en bois, pour le relogement dâaprĂšs-guerre. Les Batignolles commandent 459 maisonnettes,... Il vous reste 70% de cet article Ă lire. cadenas-ouvert Ce contenu est rĂ©servĂ© aux un accĂšs immĂ©diat, abonnez-vous 1Ăšre semaine offerte
AssuranceMaladie - Risques professionnels. Rapport de gestion annuel, analyses prospectives sur la santĂ© au travail, zooms sur un type d'accident, une population particuliĂšre ou un secteur d'activitĂ© professionnelle, etc. Les documents publiĂ©s par lâAssurance Maladie - Risques professionnels sont disponibles ici.
superKARINErien a redire le top1Parfait pour surélever un meuble,MENAELParfait pour surélever un meuble, fiable et solide5Produit solide pour le rangementBOUTHEINAProduit solide pour le rangement5FragileBRIGITTELes pas de vis en plastique ne sont pas solides2Simple, rapide et efficaceMIKESimple, rapide et efficace5P satisfaireJEAN-GARDYtrÚs satisfaire5TrÚs bon rapport qualité prixnadiaTrÚs bon rapport qualité prix4SuperCLAIRESuper5TrÚs utileAYMELINETrÚs utile5Mis sur meuble kallax ParfaitMARCMis sur meuble kallax Parfait5Je suis rarement deçue parIRENEJe suis rarement deçue par les articles que j' finition au meuble, et facile à monter5TrÚs bienAlexTrÚs bien5ParfaitLAZIZParfait5Beau designDOROTHEEBeaux, solides et utilisables sur tous les meubles. Je les ai achetés pour les caissons METOD et pour changer les pieds d'un meuble TV5Pieds pour meubles à casiersTHERESEExistent en trois hauteurs. Acheté les plus petits, qui répondent parfaitement à mes attentes. Discrets, simples et néanmoins
1 Le maire dans les cas mentionnés aux 1° à 3° de l'article L. 511-2, sous réserve s'agissant du 3° de la compétence du représentant de l'Etat en matiÚre d'installations classées pour la protection de l'environnement prévue à l'article L. 512-20 du code de l'environnement ; 2° Le représentant de l'Etat dans le département dans
Le Code de la construction et de l'habitation regroupe les lois relatives au droit de la construction et de l'habitation français. Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la construction et de l'habitation ci-dessous Article L511-7 EntrĂ©e en vigueur 2021-01-01 L'autoritĂ© compĂ©tente peut faire procĂ©der Ă toutes visites qui lui paraissent utiles afin d'Ă©valuer les risques mentionnĂ©s Ă l'article L. 511-2. Lorsque les lieux sont Ă usage total ou partiel d'habitation, les visites ne peuvent ĂȘtre effectuĂ©es qu'entre 6 heures et 21 heures. L'autorisation du juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention du tribunal judiciaire dans le ressort duquel sont situĂ©s ces lieux est nĂ©cessaire lorsque l'occupant s'oppose Ă la visite ou que la personne ayant qualitĂ© pour autoriser l'accĂšs aux lieux ne peut pas ĂȘtre atteinte.
ConformĂ©mentau IV de l'article 5 de la loi n° 2020-692 du 8 juin 2020, ces dispositions entrent en vigueur Ă une date fixĂ©e par dĂ©cret, et au plus tard Ă compter du 1er janvier 2022, au titre des enfants dont le dĂ©cĂšs intervient Ă compter de cette date. Se reporter aux dispositions du V du mĂȘme article en ce qui concerne le versement d'une l'allocation forfaitaire transitoire.
Ă lâoccasion du festival international de fanfares, des centaines de musiciens investissent les rues de Nantes. Rencontre avec les fanfares nantaises de cette Ă©dition. Nantes est la ville qui compte le plus de fanfares aprĂšs Paris. Elle hĂ©berge en effet la FFFFAN, une fĂ©dĂ©ration qui regroupe 25 fanfares modernes et festives de la ville. La plus ancienne dâentre elles encore en activitĂ©, nĂ©e Ă lâĂ©cole dâarchi, a plus de 60 ans. La FFFFAN regroupe une vingtaine de fanfares nantaises et organise divers Ă©vĂ©nements. PHOTO FRĂDĂRIC PRADEL - FFFFAN AprĂšs Paris, nous sommes la grande ville de France avec le plus de fanfaresâ, assure FrĂ©dĂ©ric Pradel, prĂ©sident de la FFFFAN, la formidable et fabuleuse fĂ©dĂ©ration des fanfares Ă Nantes. La structure, qui rĂ©unit 25 fanfares modernes âetfestivesâ, a Ă©tĂ© créée il y a bientĂŽt quatre ans. Lâobjectif ? Permettre aux fanfares de se retrouver plus facilement, de mieux communiquer sur divers Ă©vĂ©nements, ou encore de faire du lobbying âsur leurs activitĂ©s musicales Ă Nantes. Nantes est un vivier pour les fanfares depuis de nombreuses annĂ©es. Câest le dynamisme dâĂ©coles ou universitĂ©s qui ont gĂ©nĂ©rĂ© cet engouement, explique Fredse, de son surnom de fanfaron. âLes Beaux-Arts et lâĂ©cole dâarchitecture disposaient historiquement dâune fanfare pour les vernissages ou les fĂȘtes, et la plus vieille fanfare de Nantes est dâailleurs celle de lâĂ©cole dâarchitecture, la Fanfarchi, qui a plus de 60 ansâ. En plus de la Fanfarchi, lâĂ©cole dâarchitecture compte les Durs Ă Cuivre. La facultĂ© de mĂ©decine a les Trompes de Fallope. LâĂ©cole centrale, quant Ă elle, dispose de la Fanfrale. Tous ces groupes sont membres de la fĂ©dĂ©ration. SolidaritĂ©, entraide et amitiĂ© Dans notre rĂ©seau, il y a beaucoup de solidaritĂ©, dâentraide et dâamitiĂ©, souligne FrĂ©dĂ©ric â. En tant que fanfare, nous avons des contrats avec des collectivitĂ©s, des bars ou des particuliers pour participer Ă des Ă©vĂ©nements, et si finalement lâune ne peut pas, elle peut refiler le plan Ă une autre. MĂȘme chose sur lâorganisation des concours, dont celui de samedi, la 14e Ă©dition du concours international de fanfare. Lâorganisateur qui a gagnĂ© lâĂ©dition prĂ©cĂ©dente, le Terminus Brass Band, a pu bĂ©nĂ©ficier des rĂ©seaux sociaux et du Discord de la FFFFAN pour trouver du matĂ©riel, comme un billig qui appartenait au membre dâune autre fanfare. Entre elles, les fanfares ne sont pas jalouses non plus. Plusieurs fanfarons jouent dans deux, trois voire quatre groupes diffĂ©rents car il retrouve des amis dans lâun, son style musical favori dans lâautreâ, indique Fredse. Il en est un bon exemple. ArrivĂ© Ă Nantes il y a une vingtaine dâannĂ©es, il a fait partie du Grand Machin Chose avant de rejoindre les Carreleurs amĂ©ricains, une fanfare au style rock avec un guitariste qui vient rajouter de lâoriginalitĂ© parmi les cuivres traditionnels.
considérantqu'aux termes de l'article l 511 - 1 du code de la construction et de l'habitation : « le maire peut prescrire la réparation ou la démolition des murs, bùtiments ou édifices quelconques lorsqu'ils menacent ruine et qu'ils pourraient, par leur effondrement, compromettre la sécurité ou lorsque, d'une façon générale, ils n'offrent pas
Work For Us Wednesday â Aug. 17 Posted on August 17th, 2022 Today weâre posting ten positions. Please click on the included links for more information or to apply. Come join UDOTâs workforce and help keep Utah moving. Recruitment 33717- Transportation Technician II, Region One â Hooper. Opened 08/10/2022, closes 08/24/2022. Click here to apply. Recruitment 33652- Office Specialist I part time career-service, Region Two. Opened 08/10/2022, closes 08/17/2022. [âŠ] Read More Highland Drive Ramp to I-215 Posted on August 11th, 2022 UDOT advises drivers to plan ahead for a closure of the ramp bridge from northbound Highland Drive to westbound I-215 in Cottonwood Heights. The ramp bridge will close as early as Thursday, August 11. While the bridge is closed, drivers will be detoured onto eastbound I-215, where they can exit at 6200 South and get [âŠ] Read More State Route 121 to Temporarily Close for Drain Culvert Replacement Posted on July 28th, 2022 Drivers should plan ahead for road detours and travel delays UDOT advises drivers to plan for significant travel delays and detours as part of a project to replace and upgrade a drain culvert under State Route 121 between Lapoint and Vernal. Beginning Aug. 1 â 13, crews will close the road between mileposts 23 and [âŠ] Read More UDOT slides million-pound bridge into place overnight Posted on July 14th, 2022 Our crews just slid a bridge on I-15 in Cedar City using hard work, ingenuity and a little bit of dish soap last night. This is a unique project because the bridge weâre sliding has actually been used as both the northbound and southbound bridge in the last year. We built a center bridge [âŠ] Read More
Modifiépar Décret n°2020-1711 du 24 décembre 2020 - art. 1. Les équipements communs mentionnés au 2° de l'article L. 511-2 sont les suivants : 1° Les installations et conduits de ventilation et de désenfumage des circulations communes ; 2° Les installations de ventilation mécanique contrÎlée ;
En juin dernier, le Bureau Veritas BV, leader mondial en matiĂšre dâessais, dâinspection et de certification, a donnĂ© son accord pour la construction de ce futur gĂ©ant des mers, le Manta, un bateau dĂ©pollueur. Visuel du projet du bateau Le Manta de The SeaCleaner. IMAGE THE SEACLEANERS Objectif 2025. En juin dernier, le Bureau Veritas BV, leader mondial en matiĂšre dâessais, dâinspection et de certification, a donnĂ© son accord pour la construction de ce futur gĂ©ant des mers, le Manta, un bateau dĂ©pollueur. En anglais dans le texte, on appelle cela un approval in principle ». Sa mise Ă lâeau, si tout se passe bien, sera effective en 2025. DerriĂšre cette reconnaissance majeure, il aura fallu 45 000 heures dâĂ©tude et de dĂ©veloppement depuis 2018, 60 ingĂ©nieurs, techniciens et chercheurs engagĂ©s, plus de 20 entreprises mobilisĂ©es et 5 laboratoires de recherche impliquĂ©s. Le bureau dâingĂ©nierie navale de The SeaCleaners, Manta Innovation, vise dĂ©sormais le chantier dans moins de deux ans. De nouvelles Ă©tapes sâouvrent au navire avant sa mise Ă lâeau en 2025 les Ă©changes avec les chantiers navals, le lancement dâun appel Ă Manifestation dâintĂ©rĂȘt, avant une mise en chantier fin 2023.
eqWYz3. rbn432930g.pages.dev/194rbn432930g.pages.dev/183rbn432930g.pages.dev/11rbn432930g.pages.dev/157rbn432930g.pages.dev/132rbn432930g.pages.dev/309rbn432930g.pages.dev/294rbn432930g.pages.dev/396rbn432930g.pages.dev/360
article l 511 1 du code de la construction